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a man wearing a helmet and working on a piece of wood

Stories by Hydro

Une minute avec Laurence : “J’aime la technicité, la minutie et l’exigence du métier de soudeur”

De la réparation de civières, en passant par la rénovation des peintures, jusqu’au service soudure. Découvrez l’évolution de Laurence Defossez et ses missions au sein d’Hydro.

A propos de Laurence

Je suis née à Cambray, dans le Nord de la France. Je suis une personne polyvalente, conviviale et aimant le contact relationnel.

Parcours et formations

J’ai un parcours professionnel riche et varié. Après avoir obtenu mon bac comptabilité en 1991, j’ai suivi un DEUG de Psychologie mais ayant besoin d'un renouveau professionnel, je me suis tournée vers ma passion : les plantes. J’ai passé un BEPA exploitation culture sous abris. J’ai ensuite travaillé durant 10 ans chez un horticulteur, fleuriste et pépiniériste. Fin 2006, ce métier n’était plus en concordance avec ma vie personnelle, j’ai donc réalisé un bilan de compétences. Dans la foulée, il m’a été proposé une formation de soudure qui a duré 9 mois, domaine familier pour moi. En effet, mon père étant ferronnier forgeron et maréchal ferrant, j’ai aimé le regarder pratiquer et j’en étais admirative. A l’issue de cette formation, j’ai ainsi obtenu une Qualification de soudure spécifique sur acier carbone et acier inoxydable en position HL045. Cela m’a permis de travailler immédiatement, et ce, pendant 15 mois, en tant que soudeuse intérimaire dans une entreprise de maintenance en tuyauterie industrielle en Belgique. A cette période, la pénurie des chantiers ne m’a pas permis de continuer à pratiquer ce métier. J’ai dû de nouveau me réorienter, une nouvelle formation m’a été proposée dans l’administration. A cette issue, j’ai été employée en assurances pendant 8 ans. Pendant la période COVID, j'étais en quête de changement et j'ai intégré Hydro Extrusions Albi en novembre 2020.

Missions

Au départ, le monde de l’industrie m’était complétement inconnu. J’ai réparé des civières pendant 6 mois puis j’ai effectué des travaux de peinture pour les zones au sol ainsi que d’autres zones de stockage. Cette mission m’a permis de découvrir chaque atelier. J’ai ainsi eu une bonne connaissance de l’activité et du personnel qualifié respectif de chaque atelier. A la fin de cette mission, j’ai demandé à voir l’atelier soudure, le seul que je ne connaissais pas encore et qui aiguisait ma curiosité. J’ai fait un essai de 15 jours qui m’a permis de me remettre dans le bain. C’était la première fois que je soudais de l’aluminium et cela m'a évidemment plu !

Pourquoi ce métier ?

J’aime la technicité, la minutie et l’exigence du métier de soudeur. Le geste doit être régulier et précis. Je construis des choses et j’aime ça ! C’est un métier qui nécessite des connaissances techniques, de la pratique et de l’expérience à acquérir au fil du temps. Il s’exerce parfois dans des conditions difficiles (froid, chaud, bruits, manutentions, etc.), mais je reste persuadée, que si l’on fait ce que l’on aime, ça en vaut la peine.

Quels conseils donnerais-tu à une future collaboratrice qui souhaite travailler en production ?

Il faut aimer travailler en équipe, avoir un esprit ouvert, dépasser ses peurs et les idées reçues vis-à-vis de l’industrie et être polyvalente. Je n’aurais pas pensé m’épanouir dans ce milieu. Lorsque je dis que je suis soudeuse cela surprend toujours et je ressens une impression positive et je suis fière de mon métier.

Pourquoi Hydro ?

Hydro m'a fait reprendre goût à la soudure. L'accueil de mes collègues a été aussi un élément essentiel à mon épanouissement tant professionnel que personnel. Chaque matin, je viens travailler avec plaisir !

 

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